En marge de la 7ᵉ Assemblée des Nations unies pour l’Environnement, le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, El Hadji Abdourahmane Diouf, a porté haut la vision du Sénégal en matière de développement durable. Une vision intégrée, alignée sur les orientations du Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, et centrée sur une transformation écologique profonde.
Le ministre a rappelé les quatre piliers majeurs de la stratégie nationale : la restauration des terres dégradées, le renforcement de la résilience des zones côtières, la transition énergétique et la lutte contre la pollution plastique. Autant de priorités qui, selon lui, conditionnent la construction d’un modèle de développement sobre en carbone et véritablement résilient.
Mais au-delà de l’engagement national, El Hadji Abdourahmane Diouf a insisté sur la nécessité d’un cadre international plus juste pour accélérer l’action climatique. Il a ainsi lancé un vibrant appel à une solidarité concrète, fondée sur un financement climatique réellement accessible, un transfert rapide de technologies adaptées et une gouvernance mondiale capable de transformer les promesses en résultats tangibles.
