Victime d’une rupture des ligaments croisés du genou, Max-Alain Gradel n’a disputé que quatre matches avec Bournemouth. En Afrique, l’Ivoirien est au cœur d’une sombre affaire de sorcellerie et d’histoire de famille.
Gradel puni par sa famille ?
Selon un journal ivoirien, Select Magazine, Max-Alain Gradel aurait été victime de sorcellerie. Le joueur aurait été « puni par sa famille pour les avoir abandonnés au profit de son agent, Francis Kacou. » Ils agiraient donc spirituellement contre l’ancien de l’ASSE. Déjà victime de la même blessure en 2013, Gradel était revenu encore plus fort dans le Forez. Un regain de forme causé par son rapprochement avec sa famille, et notamment sa sœur Déborah Gradel, selon le magazine ivoirien, relayé parAfrik-Foot : « Gradel qui renaît de ses cendres du fait de son rapprochement avec sa famille fait comprendre à cette dernière, que désormais, il ne s’éloignerait plus d’elle. Il laisse libre cours à sa sœur aînée […] de le coacher. »
« Sous l’effet d’un certain envoûtement »
Auteur d’une saison prolifique, Max-Alain Gradel est courtisé sur le marché des transferts cet été. Il refait donc appel à son agent, Francis Kacou, pour rejoindre Bournemouth. C’est là que la volonté divine aurait opéré pour lui porter malheur : « Comme s’il avait lié des pactes avec son staff, et certainement sous l’effet d’un certain envoûtement, Gradel, après avoir signé à Bournemouth a tourné à nouveau le dos à sa famille. Il rentre dans un clash avec sa sœur aînée. Se dispute avec certains de ses oncles. »
Interrogée par Select Magazine, la sœur de Max-Alain Gradel, Déborah, est revenue sur cette folle histoire. Pour elle, son frère n’est pas victime de vaudou : « Je ne pense pas que Max ait été envoûté ou soit victime de maraboutage. Si mon frère doit continuer à jouer, ce sera la volonté de Dieu. »
La force des Juju
Début septembre, <em>The Sun</em> avait mené l’enquête sur les footballeurs et les marabouts en Afrique. Certains joueurs de Premier League n’hésiteraient ainsi pas à aller voir des « Hommes juju » afin d’opérer d’étranges rituels, dans le butd’améliorer leurs qualités, ou de briser la malédiction d’une blessure. Adebayor avait par exemple accusé sa famille de sorcellerie .