Le Symphorien n’en revient toujours pas. Alors que tout lui souriait, qu’il réalisait un début de saison appréciable en D3 amateurs, le ciel s’est assombri, brusquement, au terme du contrôle social dont il a fait l’objet dans les installations du Stade Brainois. « Je n’ai pas dormi de la nuit de dimanche à lundi », lance Fred Hinnens, le président du club. « Je n’ai jamais assisté à une scène aussi surréaliste. »
Au terme des interrogatoires, Oumar Traoré, un attaquant guinéen que le Symphorinois a enrôlé cet été, a été jugé en situation illégale et embarqué par la police.