Le Sénégal était à l’honneur ce matin à la COP 24 qui se déroule à Katowice en Pologne. Une journée « Sénégal » mise à profit pour faire connaître en plus de la culture et de la destination sénégalaise, ce que notre pays fait en matière d’énergie renouvelable, d’efficacité énergétique, a indiqué Madeleine Diouf Sarr, Chef de la Division Changement Climatique au MEDD.
« Nous avons eu les experts des départements de l’énergie, aussi, nos experts dans le secteur privé ont échangé avec le public pour lui dire les efforts que fait le Sénégal en matière de déploiement du renouvelable, mais aussi de promotion de l’efficacité énergétique qui sont deux secteurs qui participent de par leur efficacité à réduire les gaz à effet de serre tout en ayant quand même des opportunités gagnantes pour l’économie nationale », a-t-elle indiqué. Pendant ces débats, le secteur privé est intervenu pour montrer qu’il gagnerait à mettre en œuvre du renouvelable.
« On sait que la facture énergétique est importante pour tout ce qui est privé et trouver des solutions pour leur permettre de réduire cet intrant financier dans leurs investissements peut être intéressant. Ça permet non seulement de lutter contre les gaz à effet de serre en diminuant leurs émissions, mais permet aussi au secteur privé d’augmenter ses bénéfices. Nous pouvons faire de l’environnement, de la réduction contre les gaz à effet de serre, lutter contre les changements climatiques tout en permettant aux consommateurs de continuer à bénéficier de services énergétiques. Et nous avons demandé aussi au Maroc qui est dans cet effort de développement de l’énergie renouvelable, de partager aussi leur expérience avec les sénégalais », a-t-elle révélé.
L’après midi de cette journée a été réservée à l’agriculture. Une occasion pour le ministère de tutelle de développer le « climate smart agriculture », ou l’agriculture intelligente face aux changements climatiques en cours de développement au Sénégal.
« Vous aurez aussi la recherche avec Agrimeth qui parlera des propositions faites par la recherche pour accompagner les pays de la sous-région Sahel sur les bonnes mesures d’adaptation face aux changements climatiques dans le secteur de l’agriculture et de l’élevage. Nous avons eu aussi le secteur de la foresterie avec la grande muraille verte qui va nous parler des efforts qu’ils sont en train de mener. Nous aurons aussi d’autres partenaires venant d’autre pays qui ont des technologies qu’ils voudraient partager avec nous pour voir comment davantage accroitre la restauration des terres dans les zones sahéliennes », a expliqué pour finir Mme Sarr.
« On sait que la facture énergétique est importante pour tout ce qui est privé et trouver des solutions pour leur permettre de réduire cet intrant financier dans leurs investissements peut être intéressant. Ça permet non seulement de lutter contre les gaz à effet de serre en diminuant leurs émissions, mais permet aussi au secteur privé d’augmenter ses bénéfices. Nous pouvons faire de l’environnement, de la réduction contre les gaz à effet de serre, lutter contre les changements climatiques tout en permettant aux consommateurs de continuer à bénéficier de services énergétiques. Et nous avons demandé aussi au Maroc qui est dans cet effort de développement de l’énergie renouvelable, de partager aussi leur expérience avec les sénégalais », a-t-elle révélé.
L’après midi de cette journée a été réservée à l’agriculture. Une occasion pour le ministère de tutelle de développer le « climate smart agriculture », ou l’agriculture intelligente face aux changements climatiques en cours de développement au Sénégal.
« Vous aurez aussi la recherche avec Agrimeth qui parlera des propositions faites par la recherche pour accompagner les pays de la sous-région Sahel sur les bonnes mesures d’adaptation face aux changements climatiques dans le secteur de l’agriculture et de l’élevage. Nous avons eu aussi le secteur de la foresterie avec la grande muraille verte qui va nous parler des efforts qu’ils sont en train de mener. Nous aurons aussi d’autres partenaires venant d’autre pays qui ont des technologies qu’ils voudraient partager avec nous pour voir comment davantage accroitre la restauration des terres dans les zones sahéliennes », a expliqué pour finir Mme Sarr.