
L’histoire du notariat est ce symbolique de confiance forte. Toutefois, cette ligne directrice reste un grand sentier pour le notariat sénégalais. Malgré plus de deux siècles d’expériences notariale depuis l’installation du premier greffier notaire a Gorée le 2 Avril 1817.
Le sénégalais excepte cette classe d’hommes d’affaires,de riches, ne voit le notaire que dans des circonstances de contraintes,c’est a dire pour un problème de succession ou de titre foncier a décrié le Secrétaire Général de la chambre des notaires du Sénégal, Maître Mahamadou Macire Diallo. Exactement, cette peur de confiance certes basée sur de simples préjugés ,mais au delà, le coût notarial, de la part des populations en vers ces experts collecteurs met a nu cette résultante de la faille du statut même qui régissent le notariat sénégalais, c’est aujourd’hui le seul goulot d’étranglement a l’épanouissement du notariat qui réfute toute action de promotion même de l’activité avec cette loi interdisant la publicité. Des lors, relever le défi de confiance semble être la meilleure bataille. Ainsi, toutes les chances sont avec la volonté du gouvernement. Aujourd’hui, des évolutions sont nécessaires, affirme Maître Mahamadou Macire Diallo. Le statut n’est rien d’autre que le produit des sciences sociales ont doit y appose une de-initialisation ,non pour promouvoir l’anarchie mais plus tôt dans une dynamique de célérité,d’efficacité et de sécurité a a t-il prôné. Ainsi, malgré toutes ces difficultés , le notariat sénégalais est primé meilleur en Afrique Noire ceci a travers la maturité de la profession,avec les plus grands experts, sa position de poste de Président de l’Union internationale des Notaires Latin dirigée par Maître Daniel Senghor. Toutefois, il convient de reconnaître que le notariat sénégalais traîne en terme d’effectifs avec seulement 42 cabinets dont 51 notaires pour une population de 15,5 millions d’habitants au moment ou la seule capitale de la Cote d’Ivoire enregistre plus de 100 notaires. Les journées notariales sont ouvertes ce jours à Dakar ,toujours dans la promotion de l’exercice du métier.
Par Amina Bayo