C’est clair, face à cette question qui défraie tant de chroniques chez les parents , les élèves eux mêmes,la société sénégalaise et dans les réseaux sociaux.le faible taux de réussite au baccalauréat n’est ni relatif à la qualité des enseignements ni au niveau des élèves.
C’est une simple option de l’Etat du Sénégal a confie Mbaye Sarr , Secrétaire Général du SADEF. Ainsi cette politique de pilotage de système a vu face a une question cruciale, l’éducation compromet des lors l’avenir de la nation sénégalaise en forçant la jeunesse a l’immigration clandestine ou ce phénomène barca , barsakh.
L’Etat même s’il a réussi a orienter les nouveaux bacheliers dans le prive et le virtuel,la préoccupation fondamentale reste a satisfaire c’est a dire garantir l’équité et la qualité déplore ainsi le Secrétaire Général du SADEF. Au moment ou l’université Cheikh Anta Diop est en surplus,ou ces universités techniques lancées pour absorber le nombre de bacheliers fonctionnent de façon ralentie ou quasi fonctionnelles,ou l’Etat peine face aux universités prives,l’orientation majeure , ici c’était pas le recours a un système d’enseignement virtuel ,replique Mbaye Sarr.’la véritable solution c’est investir dans la construction d’infrastructures et rendre opérationnel celles ci a t-il prôné le Secrétaire General SADEF, MBAYE SARR. l’université virtuel est un programme ambitieux mais n’avons pas encore réuni tout le capital nécessaire a sa réussite, a souligne Mbaye Sarr.
Ainsi,de la connaissance de l’ordinateur, la disponibilité de la connexion, de l’électricite le chemin a parcourir devant nous est très long a t-il fait savoir.
AMINA BAYO