Besnik Hasi, entraîneur d’Anderlecht, aurait, selon les auteurs, affirmé dans les cercles fermés, concernant le dernier mercato d’été, « qu’il ne lui fallait pas un Noir de plus, que son vestiaire en comptait déjà trop, que le côté bling-bling, montres en or et musique à plein tube des Blacks commençait à l’insupporter »
Les auteurs écrivent que la raison du capotage du transfert du défenseur français Naby Sarr, à l’été 2013, proviendrait de la vision pour le moins primaire du père de Julien.« Jean-François De Sart nous donnera par un matin d’été la raison fondamentale de ce refus : ‘Cela aurait fait un Black de plus et on en a déjà assez.’ »
« Installé dans sa voiture aux côtés de Dieumerci Ndongala », que Mogi Bayat venait de chiper à Iovino et de faire atterrir à Charleroi, « l’agent prit la peine d’appeler Iovino. La magie du Bluetooth passant par-là, Ndongala fut naturellement dans la capacité d’entendre tout ce qui était dit. Iovino : ‘Mogi, ce qu’il nous a fait, il te le fera aussi. C’est un Black. Tu ne peux pas lui faire confiance, il va aussi t’entuber. Toujours pareil avec les Noirs. Qu’il aille se faire foutre.’ » […] Puis, écrivent les auteurs, Iovino eut le culot d’appeler son ex-poulain, avec « un discours bien différent à la clé : ‘Tu as toujours été notre petit frère, notre petit protégé. On veut te garder. Tu es comme un fils…’ »